Laàura Membre Trés Actif
Messages : 1714 Date d'inscription : 08/01/2012 Age : 26 Localisation : Drôme
| Sujet: Calopsitte! Mar 27 Aoû 2013 - 17:00 | |
| Est ce que quelqu'un aurait une fiche calopsitte ? Merci | |
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romain62 Membre Actif
Messages : 611 Date d'inscription : 12/03/2013 Age : 26 Localisation : France
| Sujet: Re: Calopsitte! Mar 27 Aoû 2013 - 17:08 | |
| moi mais faut je fouille mon ordi sinon si tu veux en gros c'est vachement docile ça fait environ (pour cooky) 110grammes une trentaine de cm de la queue a la tete ça mange des graines ça aime particulierement le millet le tournesol le chignon et en général (mais cooky est l'exception qui confirme la regle) elles adorent les fruits légumes particulierement pomme et carotte! ça aime etre en groupe, ça aimme l'eau en général c'est les premieres sous la pluie, ça aime aussi siffler (pour les males) et ça adore jouer!!!!! pour e qui est du comportement c'est relativement energique et il faut que ca vole!!! ça crie sans vraiment de régularité, elles crient par peur, pour t'appeler, pour dire je veux sortir ca peut etre calin si c'est bien apprivoisé, et ça apprend facilement des tours si tu es patient! voila c'est ce qui me vient a l'esprit! j'espere t'aider | |
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Laàura Membre Trés Actif
Messages : 1714 Date d'inscription : 08/01/2012 Age : 26 Localisation : Drôme
| Sujet: Re: Calopsitte! Mar 27 Aoû 2013 - 17:10 | |
| Tenez regardez ce que je viens de trouver !!! LA PERRUCHE CALOPSITTE (NYMPHICUS HOLLANDICUS) Idéale pour les amateurs d’oiseaux, qu’ils soient débutants ou chevronnés, la perruche calopsitte est un psittacidé de taille intermédiaire entre la célèbre perruche ondulée et les petits perroquets à succès. Son premier nom, la perruche nymphique, est aujourd’hui très peu utilisé. (Re-)découverte d’une « star » des cages et des volières !
Evoquée dès le début du XVIIIème siècle mais décrite pour la première fois en 1792, la perruche calopsitte n’a cependant été importée qu’à partir de 1840 par John Gould. Dès 1845 les reproductions ont commencé à réussir. Elle était alors nommée « perruche perroquet ». Les effectifs ont cependant chuté brutalement en captivité du début du XXème siècle aux années 1960, les éleveurs la considérant alors comme « trop commune » pour lui porter un grand intérêt.
Cette grande perruche forme avec les cacatoès la classe des cacatuidae (à l’intérieur du groupe des psittaciformes). Ces espèces sont classées ensemble car elles possèdent des plumes secrétant une poudre, caractéristique qui leur est propre.
Elle est cependant distante de ceux-ci et est à présent classée dans une classe à part. La perruche calopsitte est une des espèces de psittacidés les plus souvent détenues. Sa facilité d’entretien, son caractère très sociable et affectueux y sont pour beaucoup. De plus, certains individus sont de bons imitateurs et sont capables d’apprendre quelques mots (certes moins que les cacatoès ou les gris du Gabon). Sa popularité a parfois cependant tendance à lui nuire car elle est peu regardée et peu représentée en concours, sauf pour les couleurs rares.
Mesurant 30 cm, cette grande perruche possède une queue effilée qui compte pour la moitié de sa taille.
Une huppe érectile orne le dessus de la tête. Celle-ci décrit l’humeur de la perruche.
Le phénotype sauvage est gris clair avec une bande blanche sur l’aile. Les joues sont marquées d’une tache circulaire orange. Les mâles ont un masque facial jaune intense qui recouvre l’avant de la tête et la huppe. Le dessous de la queue est d’un noir ardoisé.
Chez la femelle, le jaune est absent et le dessous de la queue est jaune strié de noir. En regardant le dessous de l’aile, on remarque aussi chez elle des lignes jaune clair. Le bec et les pattes sont gris foncé.
Dès le lever du jour, les calopsittes s’éveillent et prennent souvent l’habitude de le signaler bruyamment. Vient ensuite le temps de la toilette, individuelle comme mutuelle.
La longévité de la calopsitte varie de 18 à 22 ans.
EN VOLIERE
La volière communautaire peut parfaitement être utilisée pour cette perruche avec n’importe quelle autre espèce d’oiseau, à conditions de n’y ajouter que des spécimens non agressifs. Résistante et bien adaptée, elle peut passer l’hiver en extérieur sans encombre. Elle passe de longs moments au sol et doit donc être régulièrement vermifugée. La volière peut être en bois car elle détruit assez peu les montants. Vous pouvez y planter du cyprès et du bambou.
EN CAGE
La cage doit être suffisamment grande, adaptée (barreaux horizontaux, perchoirs en bois…) en veillant à la laisser sortir de temps en temps (après avoir vérifier l’absence de danger) régulièrement afin de pallier à l’embonpoint et à l’ennui, et éviter que les muscles des ailes ne s’atrophient. En cage, le bec et les ongles poussent souvent trop. On peut couper les ongles avec un coupe-ongle circulaire pour NACS. Pour le bec, il faut être expérimenté ou s’adresser à un vétérinaire.
Il est toujours préférable de posséder au moins deux individus.
Le bain est très apprécié en règle générale. Une coupelle d’eau ou un vaporisateur conviennent très bien.
ALIMENTATION
Les graines de tournesol et les cacahuètes sont parmi leurs préférées, mais leur distribution doit être limitée en raison de leur forte teneur en graisse. Les mélanges pour grandes perruches conviennent très bien.
Plantain, mouron, pomme, poire, petits pois, brocolis, carottes, épis de maïs secs, salade, endives, graines germées et autres sont volontiers consommés.
Les calopsittes trient assez peu et mangent de tout. En extérieur la ration de tournesol doit être doublée en hiver.
Pour éviter l’ennui, la dispersion au sol de graines, les grappes de millet ou les épis de maïs secs sont très utiles car ils occupent une grande partie de la journée. On peut aussi disposer des fruits hors d’atteinte directe, pour forcer les oiseaux à réfléchir et à fournir un effort pour les atteindre.
On donnera en continu de l’os de seiche et de l’eau propre et fraîche. Les addictions de vitamines dans l’eau ne sont pas nécessaires.
REPRODUCTION
On pourra fabriquer (ou acheter) un nichoir en bois de 35 cm de haut et de base carrée de 20 cm. Le trou d’envol sera placé tout en haut et on le fera d’un diamètre de 7.5 cm. Cette dimension n’est pas conventionnelle mais une adaptation personnelle, car à la découverte d’un nouveau nichoir, les calopsittes ont tendance à grignoter le tour du trou d’envol. Elles n’y toucheront par contre plus après la ponte et réutiliseront généralement le même nid durant toute la saison, voire les années suivantes. Il doit bien sûr être nettoyé après chaque nichée et désinfecté. On le garnira de tourbe ou de terreau biologique sans engrais humide additionné à des copeaux de bois (pas de sciure dont la poussière peut créer des problèmes pulmonaires). Il est mis en place à partir de début avril ou avant si le besoin s’en fait sentir.
En cas de colonie, veiller à ce que les oiseaux d’une même lignée ne s’accouplent pas, pour ne pas développer de consanguinité.
Les deux membres du couple s’approchent en premier lieu timidement, ils se lissent et grattent ensuite mutuellement le plumage. Après cette phase le couple est soudé : il mange, dort et vit ensemble. Le mâle devient ensuite plus entreprenant. Il chante sans cesse devant sa femelle, balançant d’avant en arrière sa tête, vole et prend des pauses pour se faire remarquer, ailes écartées, visite les nichoirs et appelle « sa femme » de l’intérieur… Il peut à ce moment devenir agaçant pour le propriétaire (et les voisins !). L’accouplement a ensuite lieu et le calme reprend ses droits.
Les œufs blancs sont pondus à deux jours d’intervalle les uns des autres pour atteindre en général le nombre de 4, mais on peut avoir jusqu’à 7 œufs. Leur taille est d’environ 24.5 x 19 mm. Ils sont couvés durant 21 jours par les deux parents, à tour de rôle (mâle le jour et femelle la nuit) ou simultanément. En cas de perte d’un des deux parents, la couvée est vouée à l’échec, le parent restant ne reprenant pas la tâche du disparu. Les pontes, si elles ne sont pas contrôlées, peuvent atteindre 4 par an mais il est préférable de limiter à 2.
Les contrôles du nid sont en général assez bien tolérés par les adultes, même si ceux-ci se balanceront de droite à gauche tout en soufflant et se gonflant. A noter que les petits imitent ce comportement vers l’âge d’une semaine. Il est possible et souhaitable durant toute la croissance de changer régulièrement le fond du nid en évacuant les excréments et en remettant de la garniture propre. Il faut faire assez vite pour éviter les pertes de chaleur corporelle des petits. L’odeur n’importe pas chez les oiseaux, les gants ne sont donc pas nécessaires (les mains auront été désinfectées au préalable) mais on évite de faire voir aux parents que leurs jeunes sont manipulés.
A la naissance, les oisillons sont couverts d’un épais duvet jaune (sauf pour certaines mutations qui le rendent blanc comme l’albinos par exemple) et possèdent encore leur « diamant », petite excroissance du bec permettant de briser la coquille. Ils se blottissent les uns contre les autres et cherchent toujours ce contact. Leurs yeux sont clos. Les deux parents nourrissent les jeunes. On peut distribuer de la pâtée aux œufs. Vers l’âge de 10 jours, les picots, ébauche des futures plumes, commencent à apparaître sur la tête au niveau de la huppe et sur les ailes. A 12 jours on peut baguer les petits. Ile quittent le nid autour de 4 ou 5 semaines mais restent avec les parents encore un mois et demi environ avant d’être totalement indépendants. Ils sont alors d’une coloration semblable à celle de la femelle mais diffèrent par leur bec rosé. On considère qu’à 6 mois le plumage définitif est acquis. Les différentes méthodes de sexage précoce (écartement des os pelviens, arrachage de plumes de la queue à la sortie du nid…) ne sont fiables que dans environ 75 % des cas. Il faut attendre un an avant de mettre les jeunes à la reproduction. Il arrive que la femelle ne puisse pas évacuer l’œuf : c’est le mal de ponte. Ce problème survient en général en cas de température trop basse, de manque de calcification de l’œuf… La femelle gonfle ses plumes et reste prostrée dans un coin. Elle n’a pas d’autre signe de maladie. Pour remédier à ça, on peut utiliser une petite seringue pour injecter dans le cloaque une ou deux gouttes d’huile tiède pour aider à l’évacuation. Si l’œuf ne sort pas vite, consultez un vétérinaire.
sort pas vite, consultez un vétérinaire.
CHANT
Grégaire, la calopsitte possède un large éventail de cris et de chants pour communiquer entre membres du groupe. Elle utilise ces sons en fonction des situations et de son humeur. Elle est capable de crier avec beaucoup de puissance, parfois même pour un simple caprice en captivité, ce qui doit être un élément pris en compte avant l’adoption.
APPRIVOISEMENT
Les jeunes mâles sont les plus faciles à apprivoisés car moins farouches. C’est un excellent oiseau de compagnie, même s’il n’est pas élevé à la main. Les calopsittes sont capables d’apprendre à venir sur l’éleveur, à l’appeler, à répondre aux appels, à imiter des bruits et des mots… Les calopsittes élevées à la main seule sont souvent capricieuses et savent se faire entendre pour obtenir une friandise par exemple. Elles sont également plus exclusives et jalouses et leur comportement sexuel (mâle) qui se développe envers leur soigneur peut devenir gênant. Les élevées par leurs parents ne présentent généralement pas ces inconvénients mais sont plus distantes, du moins au début. On peut cependant facilement remédier à cela par la nourriture et les récompenses.
MUTATIONS
La variété des mutations et leur ancienneté fait qu’il est difficile aujourd’hui de trouver des oiseaux sauvages totalement purs. Deux lignes distinctes existent : masque jaune et masque blanc. En 1959, la première calopsitte blanche fût obtenue aux Etats-Unis ainsi que la mutation cannelle, la panachée ou encore la perlée. Ont suivi ensuite beaucoup des mutations que nous connaissons actuellement et le regain d’intérêt pour l’espèce. Le lutino apparaît en 1958. On trouve à présent les mutations : lutino, opaline, panaché, bronze, pâle, fallow, cinnamon, albinos, edged, joues jaunes, faces blanches… On compte également toutes les combinaisons possibles, ce qui offre une grande variété et présente un intérêt certain pour qui veut s’essayer à la génétique.
LES DANGERS
Le coup de froid : éternuements, yeux et narines qui coulent, plumage gonflé, yeux enflammés… Mettre la calopsitte sous lampe chauffante quelques temps est une bonne solution. Les troubles digestifs : ils sont visibles en cas de diarrhée ou de fientes ne comportant que la partie noire ou que la partie blanche. On diminuera alors l’apport de fruits et légumes. La psittacose : maladie des perroquets (on sait depuis peu qu’elle peut toucher d’autres genres). Cette maladie se manifeste par une très forte diarrhée, des problèmes respiratoires et les yeux qui coulent. Elle se soigne difficilement et se transmets à l’homme. Les blessures : ailes cassées, pattes gelées, coupures… Les poux : minuscules bêtes, les poux rouges ou des plumes s’installent dès que la cage n’est pas parffaitement nettoyée. Des poudres existent mais le meilleur moyen est celui préventif du nettoyage régulier des cages et accessoires et de leur désinfection (vinaigre blanc, idéal et peu onéreux).
Dans tous les cas, consulter au plus vite un vétérinaire, si possible spécialisé, est impératif.
Les jouets : bien qu’attrayants et indispensables, de nombreux accessoires et jouets du commerce sont en réalité dangereux ou inadaptés. Les perchoirs en ciment ont tendance par exemple à abîmer le dessous des pattes alors qu’ils sont vendus pour user les ongles. Certains jouets contiennent de petits éléments qui peuvent être avalés et alors créer une occlusion intestinale. Une petite branche de noisetier ou de saule sont des éléments simples et facile à trouver mais aussi attrayants que les jouets sophistiqués et ont l’avantage d’être sains, sans danger, naturels et gratuits !
source : oiseaux passion janvier 2013
D'accord merci beaucoup Romain! | |
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romain62 Membre Actif
Messages : 611 Date d'inscription : 12/03/2013 Age : 26 Localisation : France
| Sujet: Re: Calopsitte! Mar 27 Aoû 2013 - 17:14 | |
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Laàura Membre Trés Actif
Messages : 1714 Date d'inscription : 08/01/2012 Age : 26 Localisation : Drôme
| Sujet: Re: Calopsitte! Mar 27 Aoû 2013 - 17:22 | |
| On voit le pro | |
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romain62 Membre Actif
Messages : 611 Date d'inscription : 12/03/2013 Age : 26 Localisation : France
| Sujet: Re: Calopsitte! Mar 27 Aoû 2013 - 17:29 | |
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pierre06 Membre d'Honneur
Messages : 13345 Date d'inscription : 01/12/2012 Age : 62 Localisation : côte d'azur
| Sujet: Re: Calopsitte! Mar 27 Aoû 2013 - 17:43 | |
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romain62 Membre Actif
Messages : 611 Date d'inscription : 12/03/2013 Age : 26 Localisation : France
| Sujet: Re: Calopsitte! Mar 27 Aoû 2013 - 17:47 | |
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Laàura Membre Trés Actif
Messages : 1714 Date d'inscription : 08/01/2012 Age : 26 Localisation : Drôme
| Sujet: Re: Calopsitte! Mar 27 Aoû 2013 - 19:24 | |
| ahahah | |
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Rachel Modératrice
Messages : 8383 Date d'inscription : 17/09/2011 Age : 76 Localisation : gironde
| Sujet: Re: Calopsitte! Mar 27 Aoû 2013 - 19:41 | |
| t'es bien le meilleur!! | |
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