Le samedi 17 septembre 2011, les Amis des Oiseaux du Giennois de Briare organisaient leur seconde journée technique. Celle-ci fut consacrée aux becs crochus et exotiques. 18 personnes avaient répondu à l'inviation et sont venus parfaire leurs connaissances au contact de messieurs GIOCANTI et FLEURIET, tous deux juges CNJF et OMJ. Monsieur LOYER, président de la région centre était présent.
I . Présentation.
Si notre but est de progresser l n'y a qu'avec des échanges, donc des journées de formation, qu'on pourra le faire. Les journées techniques sont donc à encourager.
Les juges sont pour les contacts avec les éleveurs. D'ailleurs de plus en plus de jugements ont lieu le samedi pour permettre au plus grand nombre d'y assister.
Le standard
Le but du standard est de créer un référentiel pour les espèces domestiquées. En matière d'exotiques, seuls les moineaux du Japon, mandarins, gould, paddas sont des espèces domestiques. Les autres non.
Le référentiel c'est l'image idéale de l'oiseau. Exemple la callopsite domestique.
Il faut apprendre à regarder un oiseau. Penser à le faire de face.
C'est très long d'élaborer un standard. Les juges se réunissent plusieurs fois avant d'y parvenir.
Pour qu'une mutation soit reconnue il faut qu'elle sorte trois années de suite au niveau international. Ensuite il faut attendre qu'elle se stabilise.
Les standards pour exotiques vont bientôt sortir. Ils seront disponibles gratuitement sur le site de la CNJF.
Le métier de juge doit se déconnecter du métier d'éleveur.
Les standards sont faits pour un oiseau en plumage adulte. Ainsi une perruche callopsite en plumage adulte a passé 18 mois. L'oiseau ne prend sa couleur que l'année suivant a première petite mue.
Une callopsite mâle perlée de deux ans a perdu ses perles. Normalement une mutation c'est définitif mais là, on ne sait pas pourquoi, ça ne tient pas. Il ne correspond donc plus au standard et ne devrait pas être jugé. En fait le laps de temps pendant lequel la calopsitte mâle peut être jugé est de 2 mois.
Le problème des appellations.
Des scientifiques ont fait une étude sur les appellations données par les juges aux différentes mutations et ont tout démonté.
La perruche ondulée sauvage a pour couleur principale le vert. Cela implique une incohérence dans les appellations aux autres becs crochus car certains, comme la calopsitte n'ont jamais été verts.
La couleur des psitacidés dépend de trois choses : les mélanines, la coloration structurale, les psitacines.
Pourquoi les standards changent ils ? Exemple : le roséicoli
Le standard est fait pour les espèces domestiques or celles-ci évoluent en raison de la domestication. Les tailles diffèrent de celles vivant à l'état sauvage. C'est pourquoi les standards sont révisés et évoluent. Dans les années 2000 il y a eu le roséicoli de type hollandais. On a cru que ce type d'oiseau allait s'imposer. Or il a quasiment disparu. Mais la taille, au standard, du roséicoli a augmenté.
La taille se mesure des codales au bec pour les exotiques et des codales au dessus de la tête pour les becs crochus.
La majorité des points sera attribuée à la taille de l'oiseau. En effet, on estime que dans la carrte génétique de l'oiseau avoir une bonne taille/type est primordiale tandis que la couleur peut toujours se travailler et être améliorée.
L'élevage/la reproduction
Pour les accouplements il faut veiller à la complémentarité et ne jamais mettre deux oiseaux identiques.
Si l'un des deux a une mutation, le second doit être phénotype sauvage.
En grandes perruches, le niveau général diminue car pour gagner du temps on n'accouple pas comme il le faudrait. Alors qu'il conviendrait de travailler la qualité sur le long terme. Il faut maitriser un minimum de critères et ne pas trop se disperser. Quelque soit l'élevage il faut au minimum 40 % d'oiseaux phénotype sauvage.
Faire la distinction entre la plume chimmel (la plume est plus longue et décollée au niveau des cuisses) de la plume intensif (plume collée et plus courte).
Ne jamais accoupler 2 chimmel ensemble.
La couvée ne fatigue pas l'oiseau mais élever le fatigue.
Les oiseaux ont une grappe ovarienne précise, c'est-à-dire que pour la durée de leur vie ils pondront un certain nombre d'oeufs. Naturellement le gris du Gabon par exemple pond 3 oeufs par couvée et pond pendant 30 ans. En élevage à la main les oeufs sont retirés et l'oiseau pond 5 fois par an mais sur une durée plus courte. Est-il vraiment nécessaire de les pousser à pondre tant ?
La reproduction peut se faire en batterie d'élevage pour les ondulées, agapornis etc … ou en volière extérieure dans les autres cas. La reproduction suit alors le cours de la nature. Les exotiques doivent avoir au minimum un an pour reproduire et il est préférable de mettre un des oiseaux de 2 ans l'autre de 1 an.
Il est bien que les petits naissent à la bonne saison, au moment où les jours sont le plus longs. Ainsi les parents nourrissent davantage.
On peut donner des branchages (ex saule, noisetier, surreau …) pour favoriser la reproduction.
Il faut mettre plusieurs nids, profonds mais étroits avec beaucoup de tourbe à l'intérieur (ou mélange copeaux/tourbe). Pour les omnicolores le fond du nid doit faire 15 x 15. L'entrée du nid doit être petite (5 à 6 cm de diamètre). Dans la nature l'oiseau fait juste un trou pour le passage de la femelle. A l'état naturel l'oiseau recherche des cavités étroites.
On ne touche à rien tant qu'il y a les petits dans les nids. Pour l'hiver on enlève les nids et désinfecte. Entre 2 couvées on change le mélange tourbe/copeaux.
Quelle lumière pour les goulds élevés en intérieur ?
Les goulds de monsieur GIOCANTI sont élevés dans des cages de 90 cm de long avec chacune un tube néon de 8 watt.
Les maladies
Les maladies sont difficilement soignables, sauf les vers (vermifuger), la conjonctivite, le rhume, la gale. Un oiseau malade ne mange plus.
Les vitamines
Il est préférable de privilégier l'alimentation de façon à ne pas avoir recours aux produits. Si on doit acheter des produits passer par la pharmacie cela revient moins cher.
Les graines germées sont une source de vitamine importante. Mettre des graines de millet blanc dans un bocal, fermer. Rincer abondamment dans une passoire sous le robinet. Remettre dans le bocal pendant 24 heures puis mélanger à la pâtée sèche. A consommer dans les 24 heures.
On peut également donner du mourron blanc, des graines sauvages, des légumes et des fruits, des pissenlits.
Le blé germé (de 1 mm) convient très bien aux grandes perruches. Distribuer un peu de soja germé quand il y a des jeunes.
Dans tous les cas il faut une nourriture variée car dans la nature l'oiseau ne mange pas tous les jours la même chose. Les graines consommées dépendent des saisons. On peut proposer tous les fruits et légumes. Chez les perruches ondulées il y a un phénomène de groupe. Si l'une mange un fruit les autres y gouteront.
L'achat d'un oiseau
Quand on achète un oiseau il faut toujours demander à l'éleveur les habitudes de l'oiseau. Mange t'il au sol ou à hauteur ? Pareil pour l'eau.
Si un exotique ne mange pas pendant 8 à 10 heures il meurt.
La préparation des oiseaux au concours.
Il faut sortir les exotiques des volières trois semaines avant le concours. Passer par une cage d'un mètre puis dans la cage de concours de façon à ce que l'oiseau s'habitue à la cage et ne bouge pas trop pendant le concours. Et penser à changer la cage de place régulièrement.
En concours il faut que le perchoir soit bon et adéquat à l'oiseau. Sinon ce dernier ne se tiendra pas correctement et sera pénalisé.
Dans les cages et volières de l'élevage mettre des perchoirs de diamètres variés afin de faire travailler les pattes de l'oiseau.
Les becs crochus doivent avoir passé leur première mue pour être présenté en concours. Il fut leur faire une petite préparation car s'ils ne se perchent pas ils perdront des points.
En effet, si le juge a beaucoup d'oiseaux à voir il ne pourra pas attendre que l'oiseau se perche pour le juger. Dans certains cas le juge passe moins de 2 mn par oiseau.
Il ne faut jamais entreposer des cages au sol. Les mettre sur des tables, même en vrac.
A Tours les becs crochus ont été jugés sur 3 jours. Ils étaient transportés sur des charriots. Cela a stressé les oiseaux.
Le Kakariki est sujet à mort brutale et au stresse.
II. Ateliers
De retour du restaurant, nous avons mis en place les deux ateliers.
1- Atelier « becs crochus » avec Jean-Marc FLEURIET
Avant tout, il convient de savoir comment fonctionnent un jugement, une feuille de jugement et un standard.
Les concours
Il existe différents types de concours :
locaux : peuvent nous apporter beaucoup car les échanges avec les juges sont importants, Le concours local est pédagogique. Ne pas hésiter à y aller pour apprendre et progresser.
régionaux : pour confirmer le niveau obtenu au plan local.
National
mondial : On y va pour gagner. Il n'y a plus, tant au niveau national que mondial, de commentaires. Seul le pointage est indiqué sur la feuille de jugement.
Le mondial veut la compétition car il est plus valorisant d'obtenir un bon pointage quand on est plusieurs plutôt que seul. Mélanger les classes a permis de maintenir la compétition.
Si plusieurs oiseaux ont obtenu le même pointage, si on est en championnat de France cela se fera au feeling mais si on est en mondial, la note des oiseaux va être revue, attribuant davantage au plus beau etc de façon à départager les oiseaux.
Il existe également des concours spécialisés : exemple exotiques, canaris etc … Les premiers oiseaux sont classés, pas les autres.
Le concours est un concours de beauté. Le but est d'obtenir de beaux oiseaux.
Pour éviter que l'oiseau ne stresse, il faut impérativement préparer nos oiseaux. D'ailleurs, au fur et à mesure qu'il concourt, l'oiseau va progresser. En effet, on attend de l'oiseau qu'il se perche, ne soit ni stressé ni nerveux. Un oiseau qui se tient en fond de cage sera pénalisé.
Le standard
Les points obtenus vont dépendre de l'éclairage, du stress de l'oiseau, du juge aussi. Un jugement est subjectif.
Pour éviter au maximum la part de subjectivité, les juges utilisent un référentiel.
D'ailleurs des essais ont été faits, dans les mêmes conditions, un oiseaux jugé par plusieurs juges a obtenu le même pointage.
Certains standards sont disponibles, d'autres sont en phase de réalisation ou de révision. A leur sortie ils seront téléchargeables gratuitement sur le site de la CNJF (Commission nationale des juges de France).
Il n'appartient pas au juge de le réaliser mais au club spécialisé. Le club technique doit énoncer les différents points en argumentant (couleur, taille etc …) et le juge doit s'assurer que les bonnes questions sont soulevées. Cependant, dans la réalité, cela ne fonctionne pas ainsi, le club technique ne rédigeant pas le standard, le juge le fait mais il attend de vérifier sur d'autres oiseaux ce qu'il avance. C'est pourquoi ce peut être long.
A l'heure actuelle quand on rédige un standard on prend ce qui se fait de meilleur. Ainsi, à titre d'exemple, si on écrit que la calopsitte a une huppe de 7 cm c'est qu'on a rencontré de tels oiseaux.
Ce qui est porté dans le standard peut être atteint c'est pourquoi il sert de référentiel.
Si on dit qu'un oiseau a deux mutations, on doit pouvoir retrouver les caractéristiques de ces deux mutations sur l'oiseau. Par conséquent, le standard est simplifié et ne décrit jamais la combinaison de deux mutations en même temps. Il faut donc regarder les caractéristiques de l'une puis de l'autre.
Comment sont appréciés les oiseaux ?
Le pointage se fait sur une base 100 mais en réalité cela varie de 86 à 92 points.
En matière de becs crochus il y a 8 critères de jugement (10 pour les perruches ondulées).
Les 8 critères de jugement :
taille, type, couleur, dessin : il s'agit du patrimoine génétique.
Pour répondre à ces 4 premiers critères il faut trouver un mâle et une femelle complémentaires. C'est le travail de sélectionneur qui intervient. C'est ce premier groupe de critères qui donne 75 à 80% des points. Dès lors que l'oiseau ne manque ni de taille ni de type il peut réaliser un bon pointage.
Maintien, pattes-doigts-ongles, plumage, condition : C'est le travail de l'éleveur qui nourrit bien son oiseau, l'habitue a une cage d'expo ...Ce faisant il peut gagner des points.
Ne pas oublier qu'un jugement c'est une photo à l'instant T. Si l'oiseau ne se présente pas correctement, s'il est stressé, sale etc … le juge lui enlevera des points.
L'oiseau obtiendra déjà la moitié des points avec un bon morphotype, c'est-à-dire que la taille et le type de l'oiseau répondent au standard. Le type c'est la forme de la silhouette.
Sur les perruches australiennes c'est la femelle qui porte. Par conséquent, lors de l'achat, on va privilégier la femelle.
Pour créer sa proche souche on peut mettre père/fille ou mère/fils mais il faut alors bien suivre son cahier d'élevage et, attention, si on se trompe, en agissant ainsi on peut aussi fixer les défauts.
Quoi qu'il en soit, pour avoir de la qualité, l'accouplement doit permettre de la complémentarité et compenser les défauts de l'un par la qualité de l'autre. L'idéal étant d'avoir un phénotype sauvage X 1 mutation (voir 2 tout au plus).
En exotiques il est préférable que les deux oiseaux ne soient pas de la même année. Peu importe alors que ce soit le mâle ou la femelle qui soit le plus âgé.
Pour les goulds ne pas mettre tête orange X tête rouge.
La taille de l'oiseau : on la mesure du haut de la tête (en traversant l'oeil) jusqu'au bout de la queue. La huppe ne compte pas.
Le type c'est la forme du tout. La tête doit être harmonieuse avec le corps, posée un cou fort. Les pectoraux doivent être beaux, les ailes collent au corps et reposent bien sur le croupion. Les ailes ne doivent pas se croiser mais juste se toucher. Attention, certains oiseaux aux longues ailes destinées aux vols longs, peuvent selon leur posture sembler avoir les ailes qui croisent. Les regarder quand ils sont bien détendus.
Il doit y avoir alignement de la ligne du dos avec la queue. Exception : le kakariki.
La queue doit répondre à l'espèce (queue courte, longue, carrée, étagée …)
Les pattes, doigts, ongles doivent être complets. Les ongles non retournés. Attention au bagage.
Le bec doit être conforme, pas trop en avant. Il doit être lisse et non écaillé.
La ligne du dos doit être bien droite.
Le plumage doit être complet. Et l'oiseau ne doit pas être en mue. On sera plus tolérant sur une mue en septembre/octobre qu'en décembre.Un trou de plumage (la callopsite lutino a souvent un trou de plumage derrière la tête)sera sanctionné, de même que des ondulations des rémiges (cela arrive lorsque les agapornis vont trop fréquemment près des barreaux de la cage). Il n'y aura jamais 90 points sur un oiseau immature (dont le plumage n'est pas adulte). On accepte de la juger afin que l'éleveur aie une idée de la valeur de l'oiseau mais on ne donnera jamais 90 points car le standard a été fait pour un oiseau en plumage adulte.
La condition de l'oiseau : il doit être propre et en bonne santé.
Le jugement se fait dans l'ordre de la feuille de pointage. En fait le juge effectue d'abord un tri de loin puis il se rapproche pour les détails.
Non pointé : quand l'oiseau n'est pas en couleurs.
Déclassé : Erreur de classification. Le juge juge l'oiseau mais le déclasse. Si la classe à laquelle il appartient a déjà été jugée, l'oiseau ne sera pas primé. Si la classe n'a pas encore été jugé, l'oiseau reclassé pourra être primé si accord de l'organisateur.
Non jugé : L'oiseau n'est pas en condition ou il s'agit d'une mutation no nreconnue.
Les composantes de la couleur des oiseaux :
le Emélanine : gris et noir
lipochrome : lipo chez les canaris et lupo chez les perruches et perroquets. Influencé par la nourriture. Le pigment rouge, lui, n'est pas du tout influencé par la nourriture.
La coloration structurale : lorsque la zone nuageuse est plus épaisse, on fonce la couleur. Le facteur violet est une particularité de la zone nuageuse.
On peut lire « Les couleurs des plumes des oiseaux » de Maurice POMAREDE. Il a également écrit un livre sur la génétique et les appellations des goulds.
Une mutation équivaut à retirer tel composant de la couleur
les mutations :
de dessin : le panaché. Une seule mutation de dessin autorisée
de couleur : plus de psitacines
de structure : les facteurs violets.
La mutation halfsider est une anomalie.
La mutation lutino = perte des mélanines
Perlée = gouttes
Quand il y a trop de mutations, la taille de l'oiseau diminue.
Quand il y a une réduction complète des mélanines on des plumes jaunes, yeux rouges. C'est stable à 100%. Mais quand le taux de réduction est intermédiaire ce n'est pas stabilisé. Exemple réduction à 70 %, les descendants peuvent l'être à 65 ou 75%.
On parle de simple facteur quand la mutation n'est présente que sur un chromosome. Double facteur quand elle est présente sur 2 chromosomes.
Codominantes = pas de porteur
Récessive libre = autosomale
Récessive liée au sexe : seul le mâle est porteur, la femelle ne l'est jamais.
Quelque soit l'oiseau il est de plus en plus difficile de trouver des phénotypes sauvages.
Certaines mutations (le cinamon = mutation liée au sexe) ne réduit pas la taille de l'oiseau. D'ailleurs le cinamon est parfois utilisé pour augmenter la taille de l'ondulée, de même que le panaché est utilisé pour accroitre celle du roséicoli.
Exercice : juger les oiseaux présents dans la salle
Perruches ondulées : Au standard la perruche ondulée de couleur mesure 17 cm et a un plumage très serré et 6 spots (noirs ou autre couleur) sur la face.
Nous avions ici quelques perruches intermédiaires (non jugées).
Perruche ondulée pie = panachée. Pie australienne : barre au ventre
La mutation panaché recherche la symétrie. Si l'oiseau a une tâche à droite, elle doit également être à gauche. Le panaché c'est soit la symétrie, soit l'alternance mélanine/psitacine en proportion 2/3 pour 1/3. (soit 2/3 mélanine et 1/3 psitacine soit 2/3 psitacine et 1/3 mélanine).
Agapornis : Au standard, la taille est de 17 cm.
Bourke opaline : La couleur de la psitacine de la tête essaie de gagner tout le corps de l'oiseau. Cela n'a pas marché sur les extrémités de la bourke.
Euphèmes : turquoisine vert foncé. Il s'agit d'une mutation de structure.
Callopsite panaché : le standard dit 2/3 et 1/3 mais dans le sens voulu par l'éleveur, c'est à dire soit 1/3 de psitacine et 2/3 de mélanine soit 1/3 de mélanine et 2/3 de psitacines.
Au standard la taille est de 35 cm.
Callopsite panachée perlée : Non jugée. Une seule mutation de dessin n'est autorisée. Or là on est en présence de deux mutations de dessin.
1 mâle phénotype sauvage X 1 femelle lutino. De cet accouplement est né un perlé. Cela signifie que le mâle était porteur de perlé. Ce jeune perlé est une femelle. On peut en être sûr.
Les mâles issues d'une mère à mutation liée au sexe sont porteurs de cette mutation.
Les pennants : Doivent être le moins écaillé possible. Le bord extérieur doit avoir beaucoup de rouge. Là il y a trop de mélanine sur le dos.
Les barrabants : un peu petits. Le croissant rouge bave alors qu'il devrait ^^etre net.
Le jaune et le vert : ok
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Eleveur amateur perroquets et perruches.
Dim 4 Mar 2012 - 20:03
