colonie de perruches à collier en liberté

Les premières mentions de l'espèce en Europe de l'ouest concernent l'Angleterre : elle y est signalée pour la première fois en 1969 et se développe ensuite largement dans le sud-ouest du pays, les dernières mentions faisant état de 6000 oiseaux. L'espèce est également connue depuis plus de 25 ans en Région bruxelloise (Belgique) : le propriétaire d'un parc animalier a relâché 40 individus en 1974, à l'origine des 4500 individus récemment comptés dans le principal dortoir de la capitale belge. Elle est également signalée en Espagne, en Italie, aux Pays-Bas et en Allemagne. Dans notre pays, elle est bien connue en Provence-Alpes-Côte d'Azur, en Ile-de-France et dans le Nord-Pas-de-Calais, mais elle est considérée comme nicheuse rare sur l'ensemble du pays.

En Ile-de-France, des perruches à collier nicheuses, en passage ou en nourrissage, sont fréquemment observées depuis une quinzaine d'année. Les observations sont récurrentes en Seine-Saint-Denis, dans les Hauts-de-Seine et dans le Val-de-Marne. La perruche est cavernicole en période de reproduction et recherche donc des arbres assez âgés. En hiver, les oiseaux se regroupent en fin de journée en dortoir : c'est alors que l'on peut apercevoir des groupes importants en vol. L'espèce est frugivore et granivore.

Plusieurs travaux ont montré le risque encouru par l’avifaune cavernicole autochtone face à la présence de la Perruche à collier. La concurrence directe avec certaines espèces comme le Pigeon colombin (Columba oenas) et la Chevêche d’Athéna (Athene noctua) est avérée. Dans le sud de la France, des craintes sérieuses sont formulées si l’espèce continue sa progression et s’implante en Crau et Camargue, notamment pour le Rollier (Coracias garrulus), autre espèce cavernicole. En Ile-de-France, des Perruches à collier ont été vues s’attaquer à un Ecureuil roux et le tuer. Il y a sans doute concurrence directe entre les deux espèces pour les cavités et l’écureuil peut être un prédateur potentiel des œufs de perruche. Elles peuvent harceler un Faucon crécerelle (Falco tinnunculus), ou des laridés ou même un Héron cendré (Ardea cinerea) en les poursuivant en groupe. Selon cet observateur, le groupe encercle (en vol) et poursuit inlassablement la "victime".

Pour les végétaux, les perruches à collier peuvent mettre à sac un arbre fruitier en un temps record. A Digne, en mars 2004, il y a eu conflit avec l’administration de l’hôpital de la ville, une Perruche à collier s’en prenant aux joints des pare-brises des voitures !

Cependant, et selon divers témoignages, les habitants des lieux citadins où vivent les perruches à collier ne semblent pas se plaindre de l’espèce


(sources : Ligue pour la Protection des Oiseaux )

moussa977 a écrit:

J'ai pus en voir à Paris,elles sont plus présente banlieues sud et est,je dois dire que ça fait bizarre de voir de gros psittacidés voler en groupe en milieu urbain.

quelques reportages vidéo.

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quelques données chiffrées datant de 1987.

La Perruche à collier est introduite dans de nombreux pays. En Europe, d'importantantes populations sont présentes en Grande-Bretagne (sans doute près de 10 000 individus en 2004), en Belgique (500 couples, mais de 5500 à 6000 individus comptés en novembre 2001 à Bruxelles), aux Pays-Bas (550-600 couples), en Allemagne (250-350 couples), en Espagne à Barcelone.

En France :

Historique :
L'espèce a niché pour la 1ère fois en liberté en France en 1990 dans le Loir-et-Cher.
C'est au début des années 1990 qu'elle a commencé à nicher régulièrement en Ile-de-France avec 5 à 10 couples à Drancy (2001)
A Marseille, l'espèce a été contactée à partir de 1996 (une quinzaine d'oiseaux).
C'est à partir de la fin des années 1990 qu'elle semble s'être durablement installée en France.

Statuts et effectifs
L'enquête nationale commandée par le ministère de l'écologie et du développement durable (appellation étendue maintenant à l'aménagement) et réalisée par la LPO a permis de faire le point sur l'état de la population française.
Il est très difficile de recenser tous les nicheurs, maiss les dortoirs permettent en revanche de quantifier les effectifs locaux.
(note perso : les dortoirs font référence à la population comptée en hiver, le plus souvent regroupée pour affronter ensemble la mauvaise saison)
En 2006, la population française est d'environ 1000 individus (895-1075), et ce chiffre est probablement sous-estimé, car beaucoup de recensements sont partiels, les dortoirs n'ayant pas été localisés dans de nombreux cas.

3 populations principales existent :

- Dans le département du Nord, une petite population est présente depuis le début des années 2000 dans le secteur Roubaix-Villeneuve d'Ascq. elle comporte au moins 20 couples nicheurs et au moins 80 individus.

- en Ile-de-France, il est difficile de parler d'un seul noyaux car en réalité il existe plusieurs petites populations qui ne sont pas toutes en relation les unes avec les autres. La plus importante se situe à cheval sur les départements des Hauts de Seine, de l'Essonne et du Val de Marne. La seconde (peut-être en relation avec la précédente) se trouve dans le secteur Longjumeau-Chilly-Mazarin, Wissous, Ablon sur Seine (Essonne et Val de Marne). Une troisième est située dans le nord de la région : Sarcelles-Mareil en France et Roissy en France (Val d'Oise) mais aussi vers Drancy et La Courneuve (Seine-Saint Denis). Enfin il y a peut-être une petite population pérenne dans le parc du château de Versailles (Yvelines).
Au total on peut estimer la population francilienne à 475-525 oiseaux.

- dans le Midi
A Marseille, les effectifs sont difficiles à recenser mais il y a au moins 250 oiseaux.
Nicheuse dans le secteur de Fréjus avec au moins 30 à 60 oiseaux, et sans doute vers Six-Fours-les-Plages (Var)
Egalement nicheuse dans le Vaucluse (1 couple à l'Isle sur la sorgue) et dans les Alpes Maritimes (Cannes au moins 2 couples).
1 couple s'est reproduit en 2004 à Sigean (Aude) et l'espèce a été trouvée dans la vallée du Lez à Montpellier en 2007 (5-6 couples et jusqu'à 18 individus.

Ailleurs en France, 2-3 couples à Nancy, plusieurs cas possibles ou certains ont été rapportés en Bretagne ces dernières années.

Reproduction :
Il y a peu d'information. Les oiseaux se dispersent en période de reproduction, deviennent très discrets et il est alors difficile de les localiser.
L'espèce recherche visiblement les grands parcs bien plantés y compris au coeur même des villes. Les platanes sont signalés plusieurs fois comme arbre d'élection. Mais c'est surtout les cavités qu'elle recherche puisqu'elle est cavernicole (note : elle niche non pas en contruisant un nid comme les nidicoles, mais rentre dans un trou comme les moineaux nichant sous les tuiles, les pics dans leurs loges).
Plusieurs observateurs indiquent avoir vu cette perruche sortir d'une loge de Pic vert.

Tendance :
L'accroissement de la population française est considérable depuis le début des années 2000. Le développement actuel en Ile-de-France est similaire à celui noté par le passé dans de grandes villes commes Londres ou Bruxelles. Il est probable qu'il y ait plusieurs milliers d'oiseaux en France avant la fin de cette décennie.
L'espèce est à présent signalée souvent ponctuellement dans de nombreuses régions françaises comme dans la région Rhône-Alpes ou dans les Pays-de-la-Loire. Elle a même été notée en juin 2007 à Propriano en Corse du Sud.

Menaces, interactions et gestion :
Plusieurs travaux ont montré le risque encouru par l'avifaune cavernicole autochtone : la concurrence directe avec des espèces comme le Pigeon colombin et la Chevêche d'Athéna (une petite chouette) est avérée. Dans le Sud, des craintes sérieuses sont formulées si l'espèce continue sa progression et s'implante en Crau et Camargue, notamment pour le Rollier d'Europe, autre espèce cavernicole.
En Ile de France des Perruches à collier ont été vues attaquant et tuant un Écureuil roux : il y a sans doute concurrence directe entre les 2 espèces pour les cavités et l'écureuil peut être un prédateur potentiel des oeufs de perruche. L'espèce peut harceler un Faucon crécerelle ou des Laridés (note : famille des mouettes, goélands), voire un Héron cendré en vol groupé.
Pour les végétaux, les Perruches à collier peuvent mettre à sac un arbre fruitier en un temps record. Le même observateur relate également qu'à Digne en mars 2004, une perruche s'en prenait aux joints des pares-brises des voitures. Toutefois les habitants des lieux citadins où vivents les Perruches à colliers ne semblent pas se plaindre de l'espèce.

Discussion :
La Perruche à collier reste en Europe très inféodée aux grandes villes. Sans doute y trouve t elle une nourriture accessible et des conditions de températures meilleures qu'à la campagne (note :bulles thermiques provoquées par la déperdition de chauffage des logements très concentrés et mal isolés). Ces facteurs peuvent en effet contraindre les psittacidés féraux à rester dans les limites des zones urbaines sans chercher à se répandre ailleurs.La concurrence est donc limitée aux espèces également citadines. Les conditions climatiques allant vers un réchauffement global, il est possible que la Peeruche à collier puisse se développer davantage et ne pas rester limitée aux agglomérations.

Conclusion : il y a nécessité d'exercer une vigilance accrue sur la dynamique de population

Extraits d'un article de Philippe J. Dubois dans Ornithos 14-6 : 329-367 de nov-déc 2007

Je pense qu'il y en a aussi à Bruxelles, de même qu'une colonie de perruches quakers qui avaient été lachées à titre expérimental pour analyser leur comportement.
Il a été dit aussi que suite à leur reproduction intensive certaines espèces naturelles étaient mises en péril, entr'autre les chauves souris dont les nids sont squatés par les crochus

Oups désolé Moussa il y a eu un beug et tu te retrouves avec les deux vidéos sur ton message

Effectivement Sultane, je confirme, regarde le reportage plus haut.

Je confirme qu'à Bruxelles et dans les environs, entendre et même voir une perruche à collier deveint très banal.
chez mes beaux-parents qui habitent à +- 25km de Bruxelles, on les voit tous les jours et parfois elles s'aventurent jusque dans le jardin. Je dois dire que même si on sait l'impact négatif qu'elles ont sur l'environnement, c'est chaque fois un beau spectacle de les voir passer. Malheureusement je n'ai jamais réussi à en photographier car elles se tiennent assez loin et en vol elles sont vraiment très rapides.

C'ets incroyable, j'avais deja entendu parmer de ça!meme aux infos.....j aimerai bien qu'il y'en ai aussi ici.....

haal002 a écrit:

Je confirme qu'à Bruxelles et dans les environs, entendre et même voir une perruche à collier deveint très banal.
chez mes beaux-parents qui habitent à +- 25km de Bruxelles, on les voit tous les jours et parfois elles s'aventurent jusque dans le jardin. Je dois dire que même si on sait l'impact négatif qu'elles ont sur l'environnement, c'est chaque fois un beau spectacle de les voir passer. Malheureusement je n'ai jamais réussi à en photographier car elles se tiennent assez loin et en vol elles sont vraiment très rapides.

on connait leurs sites de nidification?

Toutes celles vivant dans la nature sont en type sauvage ?

Gildas a écrit:

Toutes celles vivant dans la nature sont en type sauvage ?

n'en ayant jamais vu en vraie je ne peux te dire, celles des reportages le sont en tout cas. Mais je ne serai pas surpris qu'il y ait aussi des bleues.

Le rossignol du Japon serai parait-il aussi présent en liberté sur le territoire Français.

Je ne sais pas où se trouve le site de nidification mais il doit y en avoir pas loin car pour le moment on les voit soit seules soit à deux alors que le courant de l'été, elles sont en groupes de 4 ou 5 (sans doute par famille le temps que les petits soient sevrés?). Toutes celles que j'ai vues jusqu'à présent étaint de type sauvage.

did a écrit:

Le rossignol du Japon serai parait-il aussi présent en liberté sur le territoire Français.

effectivement Didier

Cet oiseau fait l’objet d’observations depuis plusieurs années par le GEOB (Groupe d’Etudes Ornithologiques Béarnaises). En effet, depuis 2003, il étudie son dénombrement, son aire de répartition, sa présence en milieu urbain, son chant, sa cohabitation avec les autres espèces présentes, sa fonction grégaire, ainsi que sa nidification.

L'espèce s'est fort bien adaptée aux conditions régionales grâce à l'existence d'un biotope favorable (bois en pente à buissons denses, difficilement pénétrables, riches en insectes et baies, à proximité de l'eau) et à sa résistance naturelle (il est originaire de l'Himalaya et peut se rencontrer jusqu'à 3 000 mètres d'altitude).
On retrouve aussi cette espèce (quelques dizaines de couples) en Ile-de-France, et notamment dans la forêt domaniale de Montmorençy (Val-d'Oise), où il apprécie les sous-bois à fougères et les taillis sous futaie, mais éaglement dans la vallée de la Seine.

On retrouve aussi le rossignol du japon dans le Sud-ouest de la France, dans le Béarn où l’on a recensé plus de 1.000 oiseaux.

haal002 a écrit:

Je ne sais pas où se trouve le site de nidification mais il doit y en avoir pas loin car pour le moment on les voit soit seules soit à deux alors que le courant de l'été, elles sont en groupes de 4 ou 5 (sans doute par famille le temps que les petits soient sevrés?). Toutes celles que j'ai vues jusqu'à présent étaint de type sauvage.

Il semblerai qu'à Bruxelles la population installée grossise d'environ 15% chaque année. En 2010 la population était estimée à 10000 oiseaux. Des grand alexandre les auraient rejoint, ce qui pose la question d'une potentielle hybridation.

A Esther, au sud de l'Angleterre, on dénombre une colonie de 2500 perruches à collier.

J'ai retrouvé un article qui m'avait intéresser sur les oiseaux en ville,poster section comportement ou à déplacer si besoin, pour vous en faire profiter.

merci Yann!!!

Photos prises à Bruxelles.

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sources : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Très bonne idée !!!!

le world parrot count estime à 59635 le nombre de perruche à collier qui vivraient en dehors de leur aire géographque naturelle.

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Pour en savoir plus sur les psittacidés recensés qui colonisent des territoires nouveaux

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très très intéressant Il y en a aussi prés de chez moi à Antibes Cannes Nice etc depuis longtemps on en vois plein a St Jean Cap Ferrat dans les propriétés du bord de mer surtout des inséparables
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J'en ai vu des tas aussi en Espagne pendant les vacances Sur le bord de Mer a Roses elles ressemblaient celle qu'on voit sur le reportage sur la Belgique

Il semblerait qu'ils s'étendent de plus en plus, j'ai pue apercevoir un groupe de 7 individus dans un parc à 2min de chez moi, toujours présent au même endroit après 1 semaine, ils semblent s'y être installés!

Il est par contre assez difficile de les observer quand il s'agit d'un petit groupe, ils se fondent à merveille dans le paysage, une fois qu'on on voit un, il ne faut plus le lâcher des yeux!!

Bonjour Je remonte ce sujet car une question me taraude. Ma femme a vue dans les arbres de son école des oiseaux qu'elle a photographié pour me les montrer Et bien il s'agit de collier! Renseignement pris auprès du gardien Il en a remarqué 2 il y a deux ou trois ans et depuis avant l'arrivée des enfants et après leur départ, il en voit tout un groupe. D'où mon interrogation Nous faisons bien attention dans nos élevage à ne pas travailler avec la consanguinité et là forcement les perruches sont consanguines puisque venant d'un seul couple et cela n'a pas l'air de leur nuire vu leur robustesse ?? Qu'en pensez vous ??

Il n'est pas dit que cette colonie n'a pas été completée par de nouveaux arrivants.
Mais il est vrai que certaines espèces ont été sauvées in extermis de disparition en reproduisant peu d'individus au capital génétique très limité.
Avec un seul couple tu peu élever en ligne directe ou  ''Line Breeding'' de Felch. C'est ce que nous faisons en élevage de volailles naines pour ressortir des races oubliées ou conserver une lignée de sujets parfaits ou presque.
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cet échange est passionnant et super documenté,j'ai appris plein de choses.merci

une petite photo Prise à Antibes dans le 06

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Comment çà se fait de voir des colliers venir en france et dans les pays frontaliers? ce n'est pas des climats habituels pour eux?

D'après les articles que j'ai lu Les premières se seraient échappés des zones de quarantaine des grands aéroports nationaux et ce seraient acclimatées Pour les Perruches souris en Espagne se serait le résultat d'une expérience. Sur la Côte d'Azur leur introduction est du aux sujets échappés de chez les particuliers Enfin de toutes façons c'est l'homme qui est responsable de cette invasion

Ca y est, les perruches sont arrivées dans mon bois. Elles se régalent aux distributeurs de tournesol que je mets pour les oiseaux sauvages. Et dés que les mirabelles seront mures, je suis sur qu'elles feront des festins, mes crochus les adorent. En attendant je mets des pommes a dispositions. Elles ont mis une semaine à les trouver ou comprendre que ça ce mangeait mais maintenant elles ne font pas long feu.
Autre nouvelle, dans le groupe il y a une bleu. Comme quoi sans prédateurs les mutations sortent d'elles même.
Je ne me suis toujours pas racheté d'apn donc dur de faire des photos avec mon tel ou la tablette

Salit Pierre je suis d'accord avec vous dans ma région je vois pratiquement tous les jours j'en ai même vu une jaune.

Houla jaune , une mutation très risquée dans leur habitat naturel. est ce que tu en as chez toi qui viennent répondre aux tiennes ? Chez moi elles répondent aux appels des pyrrhuras

Oui Pierre il y en abeaucoup l'année dernière je vu une fois une trentaine et une fois une vingtaine ma fille elle avait comptte elle vienne picore et les miennes répond aux apelle de fois ils viennent sur mon volière et c'est très souvent.

Oui, effectivement, je vois des perruches à collier régulièrement quand je me balade le long du Loup à Villeneuve-Loubet et au parc de vaugrenier aussi. Quand je suis avec des amis, ils sont un peu agacés de me voir toujours le nez en l'air avec mes jumelles...

Bon sang, il faut vraiment qu'on trouve un moment pour que tu viennes voir Pepito. Je suis à un quart d'heure du Chateau de Vaugrenier

J'en ai observé à l'ouest de Toulouse. Il y a un couple que l'on voyait avec mes collègues le midi pendant la belle saison. Je ne sais pas comment elles affrontent l'hiver. On les repère facilement car elles sont assez bruyantes.